Léon Moussinac, a écrit en 1931, un petit opuscule de 50 pages avec 16 pages de texte et 32 pages comportant des reproductions en héliogravures des constructions de Robert Mallet-Stevens. En couverture figure une photo, prise par Mr Roimarmier, de la Villa Cavrois en construction.
Cet ouvrage sous le titre " Mallet-Stevens " a été publié par les Editions Georges Grès et Cie, 11 rue de Sèvres à Paris VIe dans la Collection " Les Artistes Nouveaux ". Ce recueil est sorti des presses de Rotogravure S.A. à Genève.
La photo de la couverture
La Villa Cavrois en cours de finition en 1931
Photo de Mr Roimarmier
Le texte
Pour avoir trop médité sur le fragment d'une coquille marine,
Socrate — selon Paul Valéry — a tué l'architecte qui était en
lui, parce qu'il préféra le connaître au construire, être un esprit qu'être un
homme.
C'est évidemment pour des raisons moins subtiles que le
jeune Robert Mallet-Stevens, considérant chaque jour, lorsqu'on le conduisait à
la promenade, une petite villa de banlieue « toute en coquillages », décida
qu'il serait architecte.
Il est utile d'ajouter que l'enfance de Mallet-Stevens se
passa en grande partie à Maisons-Laffite où habitaient ses parents, et que la
contemplation et l'étude de l'admirable château qu'y construisit Mansart, non
moins présent à ses yeux que la villa aux coquillages, confirmèrent vraiment
sa vocation et lui donnèrent son sens véritable.
D'une famille où l'amour et la connaissance de l'art des
siècles passés ne servaient qu'à mieux comprendre et admirer l'art du présent ;
petit-fils d'Arthur Stevens qui signala et acquit avant tous autres les œuvres
de J.-F. Millet, révéla Corot et Barye; fils de Maurice Mallet, expert en
tableaux qui, un des premiers, sinon le premier, découvrit et mit en honneur
les peintres impressionnistes Sisley, Pissarro, Claude Monet, Degas, Manet, etc.,
Robert Mallet-Stevens, né à Paris le 24 mars 1886, a donc été initié de bonne
heure à l'histoire des arts.
Les discussions fréquentes, conduites autour de lui sur toutes
les questions et les problèmes d'esthétique, devaient fixer son goût avec
intelligence, aiguiser son sens critique, développer sa sensibilité, éveiller
fortement et précocement sa perception du monde.
Les
Aussi, après de brillantes études secondaires, devient-il
élève de cette école spéciale d'architecture (entré second, sorti premier), où
il professera lui-même en 1924.
C'est en 1913 qu'a commencé sa participation aux expositions
: Gand (1913), Londres, Lyon, Bruxelles (1914), San Francisco (1915), avec des
travaux qui n'étaient encore que des exercices. Il avait déjà compris que les formes admises de l'architecture ne correspondaient aucunement aux besoins
nouveaux, ni à l'esprit d'une époque hésitant à s'affirmer encore, esprit qui
se créait peu à peu sous l'empire des nécessités économiques, sous les coups
des découvertes de la science et des transformations sociales, forçant l'homme
à faire, après le tour de soi-même, le tour de l'univers.
Ses travaux sont interrompus par la guerre où, engagé
volontaire, il sert dans l'aviation. Mais Mallet-Stevens assimile avec grand
profit ce rationalisme monstrueux de la machine — monstrueux parce qu'appliqué
aux œuvres de mort —, et qui, retourné à son destin
raisonnable, a permis, depuis, de désencombrer l'art de ces préjugés d'école,
de ces poncifs décoratifs qui asservissaient l'esprit de la plupart des
architectes : les lignes logiques et pures d'un avion, l'économie d'un moteur,
la résistance mathématique d'une poutre de béton, voilà en quoi, durant ces
heures tragiques, le jeune architecte a trouvé déjà, des certitudes.
C'est aussitôt après sa démobilisation que Robert
Mallet-Stevens a commencé son œuvre, cette œuvre si originale qui a fait de lui
un des artistes les plus représentatifs d'aujourd'hui.
Exposant sociétaire au Salon d'automne, aux Artistes
Décorateurs, participant à l'Exposition internationale des Arts Décoratifs à
Paris en 1925, il est le fondateur de la jeune Union des Artistes Modernes,
groupement d'avant-garde en ce sens que décorateurs et architectes s'y
appliquent à ruiner les formules mortes pour mieux préciser les formes utiles
et belles de notre temps.
Dans la confusion générale, les théories et les systèmes
qui s'ébauchent, Robert Mallet-Stevens a vite débrouillé les principes clairs,
logiques qui lui permettront d'affirmer sa personnalité. Ses recherches s'appliquent
tout d'abord à la solution de problèmes « intérieurs » : organisation
d'appartements, de magasins, de bureaux, construction de mobiliers. La
distribution rationnelle des services d'une habitation, et, dans ces services,
de chacune des parties indispensables, retient toute son attention. Il
s'efforce déjà d'éliminer l'ornement, ces décorations proprement dites qui
survivent encore dans les « ensembles » que présentent les expositions, et
que, seul, Francis Jourdain, dès 1910, avait complètement supprimées de ses
intérieurs et de ses meubles.
A ce moment, il semble bien que Mallet-Stevens ait été
vivement influencé par les Japonais. Si l'on compare, en effet, certains
aménagements qu'il composa dans cette période avec des présentations d'intérieurs nippons, on est
frappé par l'esprit qui, ici et là, se reflète : même goût pour une
organisation simple de l'espace laissant toute leur valeur aux surfaces
murales, donnant toute leur importance aux baies, larges, coupées de longues et
fines traverses horizontales, qui distribuent une lumière égale dans la pièce
assez nue, désencombrée de meubles mobiles, décorée seulement de carrelages
noirs et blancs. Il affirme son goût des lignes droites, des volumes
harmonieux, des tons frais, des étoffes claires, des tapis à dessin
géométrique. Il aime éclairer les pièces par des lanternes carrées, cloisonnées
de bois. Les meubles qu'il construit sont simples, pratiques, confortables, de
belle matière.
Mais il tarde à l'architecte de pouvoir plus complètement
se réaliser. Il n'a cessé d'étudier les exigences économiques et sociales
modernes. Il a compris que ce sont ces exigences qui ont suscité la découverte
des nouveaux matériaux. Il se présente des problèmes neufs, dont la solution
intéresse non seulement l'appartement, la maison, mais le quartier, la ville.
Mallet-Stevens n'a pas hésité à faire siennes les nouvelles méthodes, les
procédés récemment découverts que, précisément, les architectes traditionnels
se refusent à aborder par routine, par peur du risque, masquant leur retraite
et leurs combines sous le masque hypocrite du « respect de la tradition ».
N'entendra-t-on pas cette absurde condamnation des moyens nouveaux de
construction : « Le béton armé n'a jamais fait de belles ruines. » ! Robert
Mallet-Stevens n'a pas hésité à prendre parti. Il publie des articles, il prend
la parole, conférencie pour défendre ses idées (au Salon d'Automne, aux Annales, au Musée Galliera,
à la Société des Auteurs dramatiques, au Salon des Arts ménagers, à l'Ecole
Boulle, etc.).
Dès 1922, il écrit dans la Gazette des Sept Arts de Canudo :
« Lumière électrique, chauffage central, téléphone,
ascenseur, vacuum cleaner, monte-charge, ciment armé, autant d'éléments qui ont
bouleversé les méthodes de construction de nos habitations. Le plan se modifie,
les formes se créent...
« Les ingénieurs, les architectes qui ont bâti des fabriques
n'ont pas cherché par une décoration arbitraire à leur donner un caractère de
monuments anciens ; ils n'ont pas songé à construire une usine de produits chimiques
de style gothique, pas plus qu'un garage d'autos « Empire » ou une station
électrique « Renaissance ». Le côté utilitaire seul a été envisagé, le grand pan
uni du hall des machines, la cheminée géante et lisse de la chaufferie,
l'énorme cylindre du réservoir n'ont aucune ornementation. Les ingénieurs, les
architectes, ont construit des usines qui sont belles. Les maisons de rapport,
les édifices publics, les habitations ouvrières, les plus riches villas seront
dans l'avenir conçus avec le même esprit. »
Le Corbusier a dit : machine-à-habiter.
Tout en restant sensible aux autres formes expressive de
l'art, Mallet-Stevens fait des décors pour des films cinématographiques, il
s'attache des collaborateurs originaux tels les sculpteurs J. et J. Martel, le
verrier Barillet, le ferronnier Jean Prouvé. — Tout en participant aux
manifestations les plus aigües de l'esprit, en mue constante — cubisme,
mouvements littéraires —, il guette avec impatience l'occasion de proposer ses solutions
personnelles dans une œuvre enfin à la mesure de ses moyens.
Une première occasion se présente en 1928 avec la maison
qu'il construit à Hyères, pour le vicomte Charles de Noailles, grand amateur
d'œuvres d'avant-garde.
Il devient là un véritable maître d'œuvre. Il fait appel
aux collaborations les plus actives : aux sculpteurs Laurens et Lipchitz, à
l'architecte Guévrékian pour un jardin, à Francis Jourdain, Pierre Chareau,
Djo-bourgeois pour le mobilier, à Hélène Henry pour les tissus, et à un grand
nombre d'autres artistes français ou étrangers spécialisés. Il prouve ainsi,
grâce à l'unité de l'architecture, de la décoration — si l'on peut dire — et
du mobilier, qu'il existe déjà à ce moment un style original et qu'au delà
des personnalités qui se révèlent il naît une tendance générale de soumission
de la matière et de la technique aux besoins nouveaux de l'homme. Ce qui fera
dire aux ennemis du « moderne » qu'il s'agit là d'influences étrangères, d'un
art anti-français (sic), tout simplement parce que certaines gens n'ont pas
compris, ou n'ont pas intérêt à comprendre, l'évidence : c'est-à-dire le
caractère universel de l'architecture d'aujourd'hui.
L'économie ne s'enferme plus dans les limites nationales —
sans risque de mort. Les exigences sociales sont à l'échelle internationale,
d'où les contradictions, les heurts, les violences, au delà desquels apparaît
la vérité. L'économie et les exigences sociales rejoignent la lutte des
classes. Les besoins de l'homme — on ne dira bientôt plus les besoins d'un
aristocrate, d'un bourgeois, d'un ouvrier — se rejoindront inévitablement.
L'ordre et la vie conventionnelle
se transforment peu
à peu — ou
violemment comme en U. R. S. S. — entraînant une transformation
correspondante du phénomène architectural. C'est pourquoi un congrès
international d'architectes n'a pas hésité à signifier récemment qu'il fallait
« replacer l'architecte sur son plan véritable qui est le plan économique et
sociologique en l'arrachant à l'emprise stérile des académies conservatrices
des formules du passé. »
Le principe des standards, en construction, est sorti de
cette même idée. Principe évident, mais dont Mallet-Stevens a bien compris que
l'application exclusive ne conduirait qu'à de nouveaux errements : « Le
standard ne pourra réellement se faire sentir que dans les détails. Les
appareils de T. S. F. ont des parties identiques réalisables en série ; dans
la maison certains organes, comme les portes, les serrures, les interrupteurs,
etc., pourront aussi, après étude approfondie, être standardisés et, dès lors,
employés universellement ; mais l'ensemble, la conception générale, sera
toujours l'œuvre d'un individu... Il n'y a pas dix façons d'écouter la T. S.
F., mais il y a cent manières de vivre dans la maison... »
Les conditions de travail d'un architecte « moderne » sont
actuellement, surtout en France, très difficiles. Comme ses camarades,
Mallet-Stevens s'est heurté à l'hostilité officielle, à l'indifférence générale
et n'a retenu l'attention que de quelques personnalités avisées ou gagnées par
un certain snobisme de la nouveauté.
C'est bien le drame de tels artistes que de n'être que très
rarement appelés à réaliser les grandes construc tions sociales où ils pourraient manifester pleinement leurs
conceptions et démontrer facilement la justesse de leurs recherches. L'esprit
petit-bourgeois, aujourd'hui tout puissant, quoique sans aucune autorité, s'y
oppose : combinard, sans initiative, fermé à toute entreprise qui violente ses
habitudes et sa paresse à agir ou à prendre une responsabilité devant l'avenir.
Si nous suivons Mallet-Stevens au cours de ces dernières
années, nous voyons que ses constructions principales sont presque
exclusivement le fait des besoins particuliers d'aristocrates, de grands
bourgeois collectionneurs, de favorisés de la fortune ou d'artistes. Ce n'est
qu'en 1931, qu'on pense à lui demander un projet de cité ouvrière !...
Pourtant, à l'examen des divers travaux qu'il exécute, on retrouve cette
affirmation que la maison de l'intellectuel, comme celle de l'ouvrier, n'est
pas un bien oisif, que toutes deux sont faites pour qu'on y vive dans la
clarté, avec le maximum de confort et sans luxe inutile.
Qu'exige, en effet, toute habitation moderne :
- De l'air, de
la lumière ;
- Une
organisation de l'espace conforme aux besoins de chacun. Seules, les matières
varieront et le nombre de pièces, selon les types. Le confort est le vrai luxe.
La maison doit donc posséder de grandes baies et avoir des
terrasses qui permettent de récupérer du terrain surtout dans les
agglomérations urbaines.
Mallet-Stevens a eu l'occasion de fournir, en 1926-1927, une
démonstration éloquente de ses conceptions, en construisant, à Paris, dans le
quartier d'Auteuil, toute une rue (qui porte aujourd'hui son nom), constituée par
une suite d'hôtels particuliers. Il a
prouvé ainsi, tout spécialement, que le reproche de monotonie qu'on ne cessait
d'adresser aux constructions nouvelles est inexistant, qu'on peut —sans rien
sacrifier aux exigences particulières du plan— jouer des volumes dans
l'espace de façon harmonieuse et même donner un pittoresque à l'ensemble. La
disposition des trottoirs, le dessin des jardins, l'éclairage, tout a été,
dans cette rue-type, décidé par l'architecte.
Mallet-Stevens exige donc le plus de gaieté possible d'un
ensemble grâce à la participation des pelouses, des fleurs sur les terrasses,
des couleurs vives, la suppression des grilles : « Plus de barreaux aux écoles
et aux squares ! » réclame-t-il. A l'intérieur, il accepte qu'on cède un peu à
la mode, tout en criant gare. Il pense que les rues gagneraient singulièrement
à posséder des magasins conformes, eux aussi, à l'esprit nouveau qui se
manifeste avec tant de réussite dans les modes de publicité, considérant une
devanture comme une affiche et ajoutant qu'à son expression n'importe quelle
matière peut servir.
Et comme les églises furent toujours modernes, c'est-à-dire
conformes à l'esprit du temps où elles furent bâties, Mallet-Stevens réclame
des aéroports, des garages, des cinémas modernes.
La qualité particulière d'expression des œuvres de
Mallet-Stevens, c'est incontestablement l'élégance. Le jeu des profils, des
saillies, des retraits, la rencontre des surfaces sont le fait d'un artiste qui
veut moins démon trer et prouver que convaincre, qui ne cherche pas à
brutaliser mais à séduire. Méthode qui a, elle aussi, sa valeur.
Il est certain, par exemple, que grâce à son obstination à
employer des baies horizontales à fenêtres coulissantes, à préférer aux
grandes glaces d'une seule pièce (plus démonstratives certes, mais plus
coûteuses) des sectionnements horizontaux plus décoratifs, à l'imitation des
baies japonaises, Mallet-Stevens a peut-être plus fait pour vulgariser ce
principe nouveau d'aération et d'éclairage, que des architectes plus
intransigeants voulant avant tout prouver au profane que c'est uniquement pour
des raisons constructives que les fenêtres traditionnelles se développaient en
hauteur.
Si quelques critiques reprochent à Mallet-Stevens ce qu'ils
appellent son goût de l'horizontale, qui n'est justement qu'une conséquence
des moyens de construction adoptés, l'artiste ne manquera pas, à la première
occasion, de montrer qu'il sait aussi avoir le goût de la verticale :
lorsqu'il construit, par exemple, près de la grande masse de pierre à colonnes
et à frontons « décoratifs » du Grand Palais, à l'Exposition internationale de
1935, un pavillon du tourisme : il lance là, à 36 mètres de hauteur, une tour
d'une seule venue reposant sur deux voiles en béton armé disposés en croix qui
ne mesuraient que 22 centimètres d'épaisseur. Beauté d'une épure et d'une
preuve par neuf !
La préoccupation principale de l'architecte est donc
d'obtenir d'un plan le rendement maximum. Ce plan exprime clairement la
fonction de l'édifice. A ce point de vue, celui d'une maison construite rue
Méchain, à Paris, en fait un type exact d'immeuble à loyers.
Technique commande. De là l'utilisation des matériaux et de
leurs propriétés qui trouve son expression la plus variée, en ce qui concerne
l'œuvre de Mallet-Stevens, dans le casino de Saint-Jean de Luz.
D'un tel accord de la forme et de la destination, du fait
qu'une façade ne promet pas plus que ne tient l'édifice, de ce réalisme enfin
qui sacrifie le détail — l'ornement, à l'essentiel — le plan, les
constructions de Mallet-Stevens gardent une unité singulière et prennent toute
leur signification.
L'activité de l'artiste, curieux des recherches poursuivies
dans tous les domaines (littérature, peinture, musique), aimant — en critique — son temps, enrichit l'esprit général dans une mesure qu'il
dépendrait normalement de ceux qui détiennent l'autorité et les puissances
d'élargir encore.
A l'heure où les projets d'urbanisme se posent avec tant
d'acuité, on voudrait que tous ceux qui, comme Mallet-Stevens, luttent pour les
idées nouvelles, ont sacrifié beaucoup à leurs convictions, soient appelés à
fixer les solutions logiques, rationnelles, émouvantes et durables que leurs
travaux les ont conduits à préparer.
Si une société a, aussi, l'architecture qu'elle mérite,
c'est bien sa propre condamnation que signe aujourd'hui la société bourgeoise
en refoulant ceux qui n'acceptent point de servir ce qu'il y a de plus
médiocre, de plus vulgaire et de plus lâche dans son esprit, ni d'être
complices de cette absurde obstination à ignorer la raison profonde des grands
mouvements sociaux et la puissance de ces nouveaux besoins économiques qui
bousculent déjà le vieil ordre du monde.
PRINCIPALES CONSTRUCTIONS de Robert MALLET-STEVENS
Maison de M. Ch. de Noailles à Hyères (1923)
Pavillon de l'Aéro-Club de France (1924)
Château de Paul Poiret (1924)
Hôtel des Roches Noires, Trouville / reconstruction (1924)
Pavillon du Tourisme, Paris (1925)
Immeuble de la Société Alfa Roméo (1925)
Hôtel de Mme C. à Boulogne (1925)
Hôtel de Mme R. à Paris / reconstruction (1925)
Villa de M. A.-P. à Ville d'Avray (1926)
Villa de M. A.-P. à Ville d'Avray (1926)
Hôtel de Mme R. à Paris (1926)
Hôtel de Mme A. à Paris (1926)
Maison des frères Martel à Paris (1926)
Hôtel de Mme de C. à Paris (1927)
Maison de M. Mallet-Stevens à Paris (1927)
Hôtel de Mr G. à
Paris / reconstruction (1928)
Casino de Saint-Jean de Luz (1928)
Casino de Saint-Jean de Luz (1928)
Immeuble rue Méchain à Paris (1929)
Villa à Pernambuco, Brésil (1929)
Théâtre de Grasse (1930)
Maison de Mr D. (1930)
Distillerie pour le Gouvernement Turc, a Stamboul (1930)
Maison de Mr C. à Roubaix (1931)
Villa de M. T. à Sceaux (1931)
Maison et atelier du Maître verrier Barillet (1931)
Plus huit magasins
à Paris et
diverses installations intérieurs, décors de cinéma, etc..
Les 32 héliogravures
1. Magasin à Paris (1923)
2. Pavillon de l'Aéro-Club de France (1923)
Photo Illustration Paris
3. Maison à Hyères dans le Var (1924)
Photo Edition Albert Lévy
4. Décor de cinéma (1924)
Photo Illustration Paris
5. Immeuble rue Marbeuf à Paris (1925)
Photo Illustration Paris
6. Maison à Ville d'Avray (1925)
Photo Rep
7. Pavillon du Tourisme à Paris (1925)
Photo Illustration Paris
8. Hall du Pavillon du Tourisme à Paris (1925)
Photo Illustration Paris
9. Pavillon du Tourisme à Paris (1925)
10. Maison à Boulogne-sur-Seine (1926)
Photo Illustration Paris
11. Maison rue Mallet-Stevens à Paris (1926)
Photo Illustration Paris
12. Maison rue Mallet-Stevens à Paris (1926)
Photo Illustration Paris
13. Maison rue Mallet-Stevens à Paris (1926)
Photo Illustration Paris
14. Maison rue Mallet-Stevens à Paris (1926)
15. Maison rue Mallet-Stevens à Paris (1926)
16. Hall chez Rob. Mallet-Stevens (1927)
Photo Germaine Krull
17. Maison rue Mallet-Stevens à Paris (1927)
18. Maison rue Mallet-Stevens à Paris (1927)
Photo Mr Gravot
19. Casino de Saint-Jean-de-Luz (1928)
Photo Raymond
20. Casino de Saint-Jean-de-Luz (1928)
Photo Burrell et Hardmann
21. Hall d'entrée du Casino de Saint-Jean-de-Luz (1928)
Photo Raymond
22. Casino de Saint-Jean-de-Luz (1928)
Photo Illustration Paris
23. Transformation d'un Hôtel, Boulevard Suchet à Paris (1929)
24. Bureau des Magasins P. F. à Paris (1929)
Photo Edition Albert Lévy
25. Magasin Boulevard de la Madeleine à Paris (1929)
Photo Rotb et Cie
26. Magasin rue de la Paix à Paris (1930)
Photo Illustration Paris
27. Devanture rue d'Assas à Paris (1930)
Photo Illustration Paris
28. Théâtre de Grasse dans les Alpes-Maritimes (1930)
Photo J. Weyer
29. Entrée de l'Exposition de l'Union des Artistes Modernes (1930)
Photo Collas
30. Immeuble rue Méchain à Paris (1930)
31. Distillerie à Stamboul* (1931)
*Istanbul
Photo W. Sender
32. Entrée d'une distillerie à Stamboul* (1931)
*Istanbul
Photo W. Sender