Le vestibule

L'entrée et le vestibule


Le vestibule de l'entrée avec les boîtes à lumière, mais les appliques de Jacques Le Chevallier et René Koechlin sont absentes sur la photo du haut.






L'entrée, véritable décor de cinéma, comme ceux que fera Robert Mallet-Stevens pour le film Vertige de Marcel Lherbier en 1926. Au centre les deux portes constitue un écran noir avec de chaque côté des boîtes de lumière. Derrière l'écran un spectacle splendide vous attend.







Dans le vestibule, sont exposées trois des quatre appliques aux cerceaux en aluminium poli créées par Jacques le Chevallier et René Koechlin. La quatrième applique a été restituée à partir de l’étude des appliques d’origine. Cet ensemble souligne l’importance du travail de Mallet-Stevens sur la lumière et rappelle son activité de décorateur de cinéma. Ce sont 90% de la structure métallique de la boîte à lumière du vestibule qui ont pu être conservés (verre dépoli intégralement reconstitué).



Les boîtes à lumière de l'entrée encadrant la double porte, qui constitue l'écran noir d'un cinéma. En ouvrant ce double battant on découvre un magnifique décor. On sait que Mallet-Stevens a réalisé une vingtaine de décors de cinéma dont ceux de Vertige de Marcel Lherbier en 1926.


Sur la partie gauche du vestibule de l'entrée (vers l'est) on accède aux étages par un escalier de marbre ou par l'ascenseur dont la porte est due à Jean Prouvé.